Midi Libre évoque la nomination de Luc Marquet au poste d'entraîneur du CAC:
Surprendre et retourner en même temps une situation mal engagée, à son avantage : la nomination de Luc Marquet au poste d'entraîneur du Cac par Ghislain Amsellem atteint les deux objectifs. Mais elle confirme d'abord la mise à l'écart définitive de Jean-Marc Biasio.
« Pour moi, c'est un peu une révolution, avouait hier l'ancien international français parti retrouver sa famille dans les Landes, le temps d'un week-end. Mais c'est une reconversion à laquelle j'avais déjà pensé il y a trois ans, lorsque j'étais à Poitiers. » L'offre de prendre en mains l'équipe en Pro A lui a été faite mercredi dernier. Il a eu l'élégance de ne pas se prononcer tant que Biasio ne serait pas officiellement écarté et a tenu à informer lui-même son ancien entraîneur de la proposition qui lui était faite.
Ce choix a le mérite de rassurer les joueurs qui ont conquis le titre de Pro B. Alors qu'ils étaient nombreux à avoir manifesté leur désappointement après la révélation des contacts entre le président alésien et l'entraîneur de Saint-Quentin, Gabriel Denys, la nomination de Marquet est vue d'un tout autre oeil.
« Avec Luc, il y a une forme de continuité, apprécie d'ailleurs Amine Besrour, le libero. C'est même plutôt une bonne nouvelle car il a l'expérience nécessaire pour que cela se passe bien... » L'international tunisien, comme tous ses partenaires, a donc débuté des discussions avec Ghislain Amsellem. Il devrait signer un contrat de trois ans avant de retrouver sa sélection appelée à jouer les sparring-partners face à des équipes sélectionnées pour les prochains J.O.
En fait, Luc Marquet, qui souhaite boucler son recrutement avant la fin du mois d'avril, veut d'abord s'appuyer sur les joueurs qui étaient encore ses partenaires sur le terrain, il y a dix jours. « Le plus dur à mettre en place dans un groupe, c'est l'état d'esprit. Nous avons la chance d'y être parvenus, c'est donc essentiel de le conserver... »
Surprendre et retourner en même temps une situation mal engagée, à son avantage : la nomination de Luc Marquet au poste d'entraîneur du Cac par Ghislain Amsellem atteint les deux objectifs. Mais elle confirme d'abord la mise à l'écart définitive de Jean-Marc Biasio.
« Pour moi, c'est un peu une révolution, avouait hier l'ancien international français parti retrouver sa famille dans les Landes, le temps d'un week-end. Mais c'est une reconversion à laquelle j'avais déjà pensé il y a trois ans, lorsque j'étais à Poitiers. » L'offre de prendre en mains l'équipe en Pro A lui a été faite mercredi dernier. Il a eu l'élégance de ne pas se prononcer tant que Biasio ne serait pas officiellement écarté et a tenu à informer lui-même son ancien entraîneur de la proposition qui lui était faite.
Ce choix a le mérite de rassurer les joueurs qui ont conquis le titre de Pro B. Alors qu'ils étaient nombreux à avoir manifesté leur désappointement après la révélation des contacts entre le président alésien et l'entraîneur de Saint-Quentin, Gabriel Denys, la nomination de Marquet est vue d'un tout autre oeil.
« Avec Luc, il y a une forme de continuité, apprécie d'ailleurs Amine Besrour, le libero. C'est même plutôt une bonne nouvelle car il a l'expérience nécessaire pour que cela se passe bien... » L'international tunisien, comme tous ses partenaires, a donc débuté des discussions avec Ghislain Amsellem. Il devrait signer un contrat de trois ans avant de retrouver sa sélection appelée à jouer les sparring-partners face à des équipes sélectionnées pour les prochains J.O.
En fait, Luc Marquet, qui souhaite boucler son recrutement avant la fin du mois d'avril, veut d'abord s'appuyer sur les joueurs qui étaient encore ses partenaires sur le terrain, il y a dix jours. « Le plus dur à mettre en place dans un groupe, c'est l'état d'esprit. Nous avons la chance d'y être parvenus, c'est donc essentiel de le conserver... »